La voiture à hydrogène, c’est la promesse de véhicules « zéro émission ». Appelée plus précisément « véhicule électrique à pile à combustible », elle fonctionne à l’électricité. Comme la voiture électrique classique, dont le nom exact est « voiture électrique à batterie ». La différence étant que, dans un véhicule à hydrogène, l’électricité est produite directement à bord, à partir d’hydrogène, par une pile à combustible (PAC).
Une pile, plus efficace que la batterie
Ce module, de 10 à 30 litres, est composé de plusieurs cellules comprenant deux électrodes – une anode et une cathode – séparées par une membrane en polymère, qui fait fonction d’électrolyte. Les réactions électrochimiques entre l’hydrogène injecté à l’anode et l’oxygène à la cathode, conduisent à la production d’électricité, de chaleur et d’eau. Au final, le véhicule à PAC ne rejette que de l’eau. Ce qui en fait une alternative « propre » aux véhicules diesel et essence. Comme toute voiture électrique.
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Les voitures et l'écologie |
- Volvo annonce que tous ces nouveaux modèles seront soit 100% électriques, soit hybrides.
Volvo mène la révolution dans le secteur automobile. Les nouveaux modèles du constructeur suédois seront tous équipés d’un moteur électrique à partir de 2019. Les modèles seront soit hybrides, soit entièrement électriques. “Cela veut dire qu’il n’y aura plus de voitures Volvo sans un moteur électrique”, a précisé Hakan Samuelsson, le directeur de Volvo.
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- Plan climat : Nicolas Hulot promet la fin des véhicules diesel et essence d'ici 2040
Nicolas Hulot a présenté son plan climat ce jeudi matin en conférence de presse. Le ministre de la Transition écologique et solidaire a annoncé un programme ambitieux qui doit mener à l’abandon définitif des énergies fossiles et à la fin des véhicules diesel et essence d’ici 2040.
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Un outil de destruction camouflé. C’est la thèse qui émergeait mercredi soir, au lendemain de la vaste cyberattaque qui a secoué l’Ukraine et le reste du monde. Car si le ver NotPetya (ou ExPetr/PetrWrap, selon les versions) était d’une rare sophistication, capable de contaminer 5.000 PC d’un réseau en dix minutes, le système visant à obtenir une rançon était codé avec les pieds. Selon le Français Matthieu Suiche, expert en sécurité chez Comae, c’est parce que le malware était en fait un « wiper », chargé de détruire un disque dur et de causer « le maximum de dégâts ».
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l'opération de piratage russe pointée du doigt par le FBI. Les pirates ont notamment envoyé des courriels trompeurs à des membres du parti démocrate, les convaincant d'installer un logiciel malfaisant ou de communiquer leurs identifiants.
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Des chercheurs en sécurité ont élaboré une méthode logicielle permettant, à partir d'un numéro de carte, de trouver sa date de validité, son cryptogramme visuel et même le code postal de l'utilisateur.
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